On entend souvent dire que les fourrages de deuxième coupe font « plus de lait » que ceux de première coupe. On dit aussi que ceux de quatrième coupe sont « spéciaux » et qu’il est difficile de prévoir ce qui en sortira. Qu’en est-il vraiment? Chaque producteur doit composer avec le climat afin de conjuguer rendement, qualité et persistance des plantes fourragères. Toutefois, plusieurs facteurs militent en faveur de l’affirmation disant que « les fourrages récoltés en première coupe sont spéciaux ». Voyons quelques-uns de ces facteurs.